La prière, les
réactions nombreuses de part le monde ont fait reculer les partisans de la
violence contre la violence. En Syrie on démantèle les armes chimiques ;
Mais les autres
continuent à tuer de part et d’autres.
Les communautés chrétiennes sont prises en otages et pour les secourir on en
est toujours aux belles paroles…
On s’entretue en
Syrie et l’ONU est ici impuissante. Les
fanatiques de leur pouvoir et les fanatiques de leur religion entretiennent la
haine.
Où sont les indignés
par cette situation ? Il ne suffit pas de crier, il ne suffit pas de
belles paroles, il faut donc continuer à prier, à tendre la main pour forcer au
dialogue, dénoncer les fauteurs de guerre, mettre en lumière tous ceux qui
tirent bénéfice des ventes d’armes aux uns et aux autres. Quels sont les hommes
d’états courageux qui oseront autant pour la paix qu’ils ont voulu l’être dans
la légitime défense ?
L’homme en blanc, désarmé,
continue ses appels… les relayons-nous ? Les mettons nous en
pratique ? Encore vendredi dernier à Assise : « Nous nous adressons à toi, François, et nous te
demandons : apprends-nous à être des « instruments de paix », de
la paix qui a sa source en Dieu, la paix que le Seigneur Jésus nous a apportée. »