Il est au cœur de Dieu : l’un d’entre nous, enfin, a trouvé la place désirée de toute éternité. Entre Dieu et l’homme désormais c’est l’intériorité réciproque possible, réalisée !
Pour les apôtres, c’est un véritable travail de deuil qui s’accomplit, en leur cœur, entre Pâques et Pentecôte.
Pendant quarante jours, les apparitions leur ont permis de percevoir les signes que la vie éprouvée avant sa mort porte des fruits étonnants de joie dans la tristesse, de dynamisme dans la paralysie, de profusion dans l’échec. Sa vie a traversé notre mort ! Et tout travail de deuil est récolte en nos cœurs de cet inespéré.
Mais il faut le laisser partir, comme on voit partir un navire du port, pour gagner l’autre rive. Il ne faut pas le retenir comme si on voulait revivre, retrouver, momifier la vie ancienne. Il va en Dieu, notre terre de liberté. Il faut consentir à cet arrachement et regarder où nous mettons les pieds aujourd’hui, pour marcher grâce à cette vie qui a fait la traversée puisqu’elle est là toujours devant... devant c'est-à-dire en Dieu.
En attendant, nous voilà suppliant pour recevoir l’Esprit qui nous fera brûler du désir d’aimer ici et maintenant.
Pour les apôtres, c’est un véritable travail de deuil qui s’accomplit, en leur cœur, entre Pâques et Pentecôte.
Pendant quarante jours, les apparitions leur ont permis de percevoir les signes que la vie éprouvée avant sa mort porte des fruits étonnants de joie dans la tristesse, de dynamisme dans la paralysie, de profusion dans l’échec. Sa vie a traversé notre mort ! Et tout travail de deuil est récolte en nos cœurs de cet inespéré.
Mais il faut le laisser partir, comme on voit partir un navire du port, pour gagner l’autre rive. Il ne faut pas le retenir comme si on voulait revivre, retrouver, momifier la vie ancienne. Il va en Dieu, notre terre de liberté. Il faut consentir à cet arrachement et regarder où nous mettons les pieds aujourd’hui, pour marcher grâce à cette vie qui a fait la traversée puisqu’elle est là toujours devant... devant c'est-à-dire en Dieu.
En attendant, nous voilà suppliant pour recevoir l’Esprit qui nous fera brûler du désir d’aimer ici et maintenant.
1 commentaire:
Oui, c'est bien ! Mais j'aimais la manière dont tu alliais "continuité" et "séparation"
les deux dans le respect de la liberté de celui qui part...
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